Vos avis ...

Anonyme a dit :

Cher Dady,
Nous nous sommes empressés de commander votre ouvrage. Lors de nos diners, vous nous avez souvent raconté vos passionnantes aventures. Ce roman que nous avons hâte de lire, doit vous ressembler : Généreux, passionné.
Bien à vous.
Réda et Nathalie.


Anonyme a dit...

Cher Monsieur,
Grace à PH.T, c'est avec beaucoup d'intéret que je découvre votre livre sur Internet.
Bravo pour ce superbe et émouvant témoignage.
Comme vous, mais 10 ans plus tard, j'ai eu la chance de participer à la grande aventure du coton et de la CFDT.
Moments inoubliables patagés avec des hommes d'exeption.
Je commande immédiatement votre ouvrage pour faire découvrir à mes proches et petits enfants ce que nous, les français, avons fait en afrique.
Malheureusement, la CFDT a disparu au grand désespoir de nombreux amis africains.
Au plaisir d'un prochain contact.
Meilleures salutations
JRL.


 Anonyme a dit... 

Une connaissance (un professeur), vient de faire un beau compliment sur le livre de papa : il a dit qu'en lisant le livre "Histoires de Petit Blanc" de JP Cornier, il avait eu le sentiment de se trouver devant un texte écrit par un "Marcel Pagnol africain" ...

Ca ne peut pas s'inventer, un tel compliment ?
NA!


Anonyme a dit...

Bonjour, Jean-Pierre,
Bien reçu le livre, que j'ai commencé à lire. En 1967, date de mon arrivée en Côte d'Ivoire, les conditions étaient déja bien différentes de ce que tu as pu connaitre, 13 ans auparavant et en Afrique Centrale.
Tes récits vécus me passionnent et quelle bonne idée tu as eu des "immortaliser" dans cet ouvrage, bravo.

BT


Anonyme a dit...

Cher Jean-Pierre,
J’ai eu le plaisir de découvrir les narrations sur ta carrière professionnelle en Afrique durant 40 ans de ton existence. Quel parcours et que d’anecdotes émaillées de bon sens tu contes à ton lecteur. C’est vraiment exceptionnel.
J’imagine aussi que ta femme et tes enfants t’ont apportés un grand soutien.
Professionnellement, tu avais sans doute les qualités de connaissance de travail et d’humanité pour assurer de telles responsabilités.
Et de bon sens pour les remettre sur le droit chemin.
J’ai bien aimé aussi tes rapports avec la communauté africaine et la manière dont tu les rapportes.
Je suis allé sur ton blog.
Tu parles de beaucoup de choses, mais je sens que tu es toujours là-bas.
Cela m’a rappelé beaucoup de souvenirs, dans une époque pas toujours facile.
Jean-Pierre, je te présente mon meilleur souvenir et mes amitiés pour toi et ta famille.
AE


Anonyme a dit...

Un très, très beau livre!!
Merci de partager vos merveilleuses histoires...
Sandrine


Anonyme  a dit...

J'ai déjà lu une centaine de pages du livre et dois dire que je me régale. Ces histoires de petit blanc sont si authentiques et si pleines d'humour, que je me revois dans certaines situations analogues. Félicitez votre père de ma part, car il me replonge dans une époque dont on peut sans complexe être nostalgique (mot que les 'journaleux' parisiens exècrent, mais eux ne comprennent pas grand chose à ces réalités, et surtout ils voient le monde au travers de leurs idéologies respectives ou tout noir ou tout blanc, les pauvres!).

 Cordialement. AR


Retriever a dit...

Excellente idée de conserver en écrit la mémoire de nos racines et superbe vidéo.

Ancienne native du Congo, j'ai apprécié de la regarder, je vous ai découvert via Facebook par la publication du livre.
Merci


Lettre ouverte d’une lectrice à JP Cornier :

Paris, Le 10 Août 2009
Monsieur,
A la suite de votre passage dans une émission de Radio Courtoisie, j’ai acheté et lu votre livre, «Histoires de petit blanc».
J’ai apprécié la mise en scène vivante et le style simple et alerte de votre, plutôt de vos, récits.
En changeant les noms des personnes et des lieux, je me suis retrouvée tantôt en Guinée, tantôt en Côte d’Ivoire, ou en Haute Volta, ou au Soudan, ou encore au Sénégal, pays où j’ai vécu en continu de 1942 à 1953, puis ponctuellement de 1954 à 1958.
Maintenant, je tiens à vous dire merci.
1) Merci pour les millions de Blancs qui ont fait ce qu’ils ont pu avec les moyens rudimentaires dont ils disposaient, dépensant la totalité de leur énergie pour faire au mieux, tout en vivant dans des conditions elles aussi rudimentaires et souvent même difficiles.
Si quelques-uns ont été paresseux ou se sont conduits comme des malades, c’est vrai, la plupart d’entre eux (90 à 95%) ont suscité mon admiration. Merci d’avoir eu le courage de raconter cela en contradiction avec la « correcte pensée » actuellement répandue en Métropole.
2) Merci pour moi qui ai appris en lisant vos récits que les noirs que vous avez côtoyés à partir de 1954, ceux-là même qui avaient subi « l’oppression coloniale » auparavant, n’en ont pas gardé un mauvais souvenir et se sont rendu de ce qui avait été réalisé chez eux sous l’égide de Blancs (et qu’ils n’auraient jamais réalisé tout seuls), ce qui encore une fois est contraire au postulat anticolonialiste généralisé.
Vous m’avez mis du baume au cœur.
J’ai également constaté que pendant votre période africaine les Noirs étaient restés eux-mêmes, c’est à dire tel que nous les avons aimés. Encore merci.
Je souhaite que vous ayez de nombreux lecteurs à l’esprit suffisamment ouvert pour accepter le message qui découle de votre témoignage.
RT


Sara Do a dit...

Quel fabuleux endroit... merci pour le partage, la vie qui s'exprime dans toute sa générosité.
Merci à Nathalie Audet d'avoir fait le passage par le biais d'un lien sur Facebook.
D'étoilement touchée par ce lieu magique.
Sara Do


Anonyme a dit...

Cher homonyme,
Vous vous souviendrez sans doute que le 14 Septembre 1968 nous avons voyagé sur le même avion pour nous rendre à Bangui...et notre homonymie avait posé quelques problèmes à l'embarquement !
Depuis cette date je n'ai plus jamais eu de vos nouvelles .
Mais hier une de mes relations m'a interrogé sur "mon" livre : Histoire d'un petit blanc. C'est alors que je me suis remémoré notre Paris /Bangui il y a 42 ans .Grâce à internet j'ai pu faire votre connaissance et je n'ignore pratiquement plus rien de vous !
Nous nous sommes sans doute croisés au cours de nos pérégrinations africaines ou moyen orientales...
Hormis notre homonymie nous avons donc plusieurs points communs .
Toujours grâce à internet j'ai pris contact avec votre éditeur pour me procurer votre livre . Compte tenu du délai de 3 semaines je ne pourrai vous le faire parvenir que fin octobre pour que vous ayez la gentillesse de me le dédicacer . Merci de bien vouloir me donner votre adresse.
Je suis très impatient de lire votre livre souvenirs .Il ne manquera pas de me projeter 40 ans en arrière , mais d'ici là nous aurons peut être l'occasion de nous rencontrer, si vous passez dans la région parisienne ,ou de communiquer par Mail ou téléphone .
Bien à vous ,


Anonyme a dit...

J'ai beaucoup aimé la présentation du livre : quelle bonne idée !

Et quelle vie bien remplie ! Bonne chance pour la suite ...


Anonyme a dit...

Vraiment passionnant ! Votre blog et celui de "Coriolan in Red" sont ceux que je consulte tous les jours et cela me fait beaucoup de bien ! Continuez !


 Anonyme a dit...

...j'aurais pu en écrire bien davantage sur ce livre qui a conservé la fraicheur de nos conteurs !
Ne désespérez pas , la littérature dans notre belle langue trouvera encore longtemps sa place , j'en suis convaincue . Les gens ont tout aussi besoin d'écrire que de lire , et pour se transmettre de générations en générations les idées doivent s'exprimer avec la clarté et la précision d'une langue bien maitrisée.
L'à peu près , l'approximatif , tout ce qui se fond dans un phénomène de mode disparaitra pour ne laisser subsister que le meilleur .
D''un autre coté , la lecture est le plus puissant médiateur et formateur de l'imaginaire ..
Ecrivain et lecteur un couple qui n'est pas près de se séparer .
Je fais peut-être preuve d'un bel optimisme !
Merci encore pour tous ces témoignages d'une vie riche , car enfin , il ne suffit pas de bien écrire , encore faut-il avoir quelque chose à raconter, être capable d' extraire toute la saveur du quotidien , et avoir su favoriser ces souvenirs qui méritent de perdurer.
C'est peut être davantage la qualité de l'existence que nous risquons de perdre , plus encore que la manière de la raconter .
Amicalement
Mj


Jean-Pierre Cornier a dit...

Ca fait toujours plaisir de recevoir des messages comme celui-là :

Bonjour Monsieur,
Je viens de découvrir votre livre, par Google Books (je cherchais sur Google "boy lavadère"), et j'ai commencé à le dévorer, au bout d'une trentaine de pages, j'ai foncé sur Amazon, où il en restait deux exemplaires, que j'ai achetés, un pour moi, l'autre que je fais livrer à mon père.
Puis je suis vite revenue à Google Books continuer ma lecture envoûtante, que j'interromps quelques instants pour vous écrire ma gratitude (dans ma recherche Google, cette fois directement sur le titre de votre livre, j'ai trouvé votre blog et votre adresse mail).
Quel bonheur de retrouver tant de souvenirs et d'impressions, si justement exprimés par vous !
J'ai vécu "là-bas" de 1958 à 1993, presque vos propres dates ! J'avais 7 ans quand nous sommes partis pour Brazzaville (1958-1966), puis Fort-Lamy/N'Djaména (1966-1982) et enfin le nord Cameroun puis Yaoundé (1982-1993).
En vous lisant, je revois les photos qu'a prises mon père lors de ses déplacements constants en brousse (il y partait en tournée un mois sur deux), et je l'entends nous raconter ses aventures !
Merci infiniment, Monsieur Cornier !
Bonne soirée et bon week-end.
G.G.
Créteil
 

Histoires de Petit Blanc

Histoires de Petit Blanc
JP Cornier